Ite missa est.

Voici le 52e billet de ce blog, la cinquante-deuxième et dernière ration hebdomadaire autour du suffixe –ité, celle-ci étant un peu particulière puisqu’il n’y a pas ici de suffixe mais un verbe entier, ire (aller en latin) conjugué à la deuxième personne du pluriel de l’impératif.

« Ite missa est », expression consacrée pour disperser les fidèles à la fin de la cérémonie, s’imposait pour clore cette série de billets badins-malins, égrenés depuis le 28 juin 2011.

En septembre 2011, sur le site des Infostratèges, Didier Frochot m’a lancé le défi en disant : « Combien de temps Marie-Anne va-t-elle tenir avec des billets sur un truc en -ité ? Faisons confiance à son imagination… ». Eh bien voilà, un an. Comme prévu. Le plus dur n’a pas été pas de trouver la matière car l’observation quotidienne de la société, dans l’exercice de mes activités professionnelles et personnelles, est très nourrissante, mais plutôt d’exclure les mots qui ne seraient pas traités. Il m’en fallait 52 pour jalonner ma première année de blog et il y en a plus de trois cents dans la langue française… Tant pis pour les autres.

Mais avant de partir, si vous voulez bien prendre cinq minutes de votre temps pour remplir un petit questionnaire afin de m’aider à percevoir comment ce blog – qui continue bien sûr – pourrait être plus attractif et plus utile dans sa seconde année, je vous en serai reconnaissante.

Le sondage comporte 10 questions.

Si vous êtes sérieux ou pressé, vous pouvez le remplir en version « normale » en cliquant ici.

Si vous êtes resté(e) sur votre faim d’ité et que vous avez une minute de plus, vous pouvez le remplir dans sa version « spécialité » en cliquant là.

Nota bene : seule la version « spécialité » comporte une question subsidiaire. Il n’est pas utile de remplir les deux. Encore qu’il n’y ait pas d’objection majeure…

Sur ce, je vous dis « À bientôt ! »

Cordialités, sincérité,

MAC

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