Allons droit au but et sans ambages :

  1. Un string, c’est écologique et économique, dans le sens où la quantité de tissu nécessaire à sa confection correspond au tiers, voire au quart, de la surface du vêtement alternatif classique pour la partie de l’anatomie considérée.
  2. C’est stupide, pour ne pas dire inconséquent, quand on porte un pantalon de belle cotonnade ou de beau lin, agréable à la peau, de ne pas en faire profiter les parties les plus charnues de l’individu ; il convient néanmoins dans ce cas d’éviter de s’asseoir sur la pierre froide d’une bordure de trottoir sous peine de doubler le risque de rhume de fesse.
  3. Le string, c’est à la mode, et la mode, elle valorise, elle libère, elle épanouit. Le string est à la culotte ce que le bibi est au chapeau-cloche, le yaourt 0% à la crème fouettée et le SMS à la missive circonstanciée.

J’écris ce billet pour me moquer (gentiment) de cette tendance au titre racoleur construit autour d’un nombre censé satisfaire une certaine envie d’exhaustivité pratique de l’information sur un sujet et qui fait florès sur les réseaux sociaux et dans les média plus généralement : les 5 infos à retenir du week-end, 7 tendances de la dématérialisation, les 10 technologies incontournables, les 50 chiffres à connaître sur…

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