Quand les victimes écrivent l’histoire
« L’Histoire ne s’écrira plus par les universitaires, les chercheurs du CNRS, les diplomates ou les hommes politiques. Elle s’écrira par les victimes du terrorisme, les victimes de ces actes que les Anglo-saxons appellent political violence, des actes de violence à caractère politique ». C’est par ces mots que Joël Bescond présente le livre qu’il a consacré…